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1.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):55-56, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182960

ABSTRACT

Declaration de liens d'interets: Les auteurs declarent ne pas avoir de liens d'interets. Copyright © 2022

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualites ; 15(1):7-8, 2023.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-2182899

ABSTRACT

Introduction: Les survivants de formes severes a critiques de COVID-19 peuvent presenter des sequelles fonctionnelles et radiologiques et des symptomes persistants a distance de l'episode aigu justifiant un suivi prolonge. L'objectif de l'etude est de determiner les trajectoires de recuperation respiratoire apres un COVID-19 severe, et les facteurs qui pourraient l'influencer. Methodes: Etude de cohorte prospective, multicentrique, longitudinale de patients adultes hospitalises pour COVID-19 severe (duree d'hospitalisation >= 7 j, debit d'oxygene >= 3 L) ou critique (intubation), evalues (clinique, TDM, EFR, test de marche, questionnaires de symptomes et de qualite de vie) 3 mois apres leur sortie de l'hopital, avec un suivi ulterieur conditionnel a 6 et 12 mois. Resultats: Au total, 486 participants ont ete inclus dans 13 hopitaux francais (age median : 61 ans;sexe feminin : 27 %) : 173 avaient necessite de l'oxygene seul, 96 un support ventilatoire non invasif (CPAP, OHD ou VNI) et 217 avaient ete intubes. Au total, 454 patients (93 %) ont ete evalues a 3 mois, 294 (60 %) et 163 (34 %) ont ete suivis respectivement jusqu'a 6 et 12 mois. Une dyspnee d'effort, un syndrome restrictif, un trouble de la diffusion et des anomalies radiologiques significatives ont ete observees respectivement dans 62 %, 33 %, 71 % et 57 % des cas a M3. En cas de suivi prolonge, la DLCO (% theo.) et la CVF (% theo.) augmentaient en moyenne de +4 points a M6 et respectivement de +6 points et +7 points a M12. Le sexe, l'indice de masse corporelle, les maladies cardiovasculaires ou respiratoires chroniques, l'immunodepression, l'etendue de la pneumonie pendant la phase aigue de la maladie et la duree prolongee (> 14 j) de ventilation mecanique invasive etaient associes a la DLCO a M3, mais pas a sa trajectoire ulterieure. Parmi 476 patients (97,9 %) ayant eu au moins une TDM thoracique au cours du suivi, 196 (41 %) avaient des sequelles significatives sur leur derniere imagerie. Le sexe, l'etendue de la pneumonie a la phase aigue, la duree de la ventilation mecanique invasive et la DLCO a M3 etaient independamment associes au resume des composantes physiques du SF-36, tandis que seul l'age etait associe au resume des composantes mentales du SF-36. Conclusion(s): Bien que la fonction respiratoire s'ameliore et que les anomalies radiologiques residuelles regressent jusqu'a 1 an apres l'episode aigu, une proportion importante des survivants de formes severes ou critiques de COVID-19 ont des sequelles radiologiques et fonctionnelles importantes et des symptomes residuels pouvant affecter leur qualite de vie et justifiant un tel suivi. Copyright © 2022

3.
Anesthesie et Reanimation ; 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-1866851

ABSTRACT

More than 5 millions of people in France have presented a SARS-CoV-2 infection. In the previous coronavirus epidemics (SARS-CoV, Mers-CoV), patients have developed pulmonary sequelae with dyspnoea, DLCO decrease and/or fibrosis lesions. The purpose of this review was to evaluate the respiratory sequelae and to do a summary of the main respiratory symptoms after a COVID-19 infection and their aetiologies. The four main causes of dyspnoea are respiratory sequelae, deconditioning, hyperventilation and classical causes of dyspnoea. The main respiratory sequelae were DLCO alteration and fibrosis pattern. Actually, the prevalence of these respiratory sequelae is unknown.

4.
Revue Neurologique ; 178:S5-S6, 2022.
Article in French | EMBASE | ID: covidwho-1814987

ABSTRACT

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs n’ont pas précisé leurs éventuels liens d’intérêts.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):7-8, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586710

ABSTRACT

Introduction Trois vagues ont été observées dans le cadre de la pandémie d’infection à SARS-CoV-2 (Covid-19). L’objectif principal était de comparer les patients admis pour Covid-19 grave, en réanimation ou en unité de soins intensif (USI), durant les 2 premières vagues (V1: février 2020 à août 2020 et V2: septembre 2020 à janvier 2021). L’objectif secondaire était d’évaluer les facteurs de risque de mortalité. Méthodes Étude observationnelle, rétrospective, monocentrique (CHU Amiens-Picardie). De février 2020 à janvier 2021, les patients admis en réanimation ou USI pour Covid-19 confirmé (PCR ou test antigénique positif) ou probable (atteinte scannographique et/ou clinique compatible et contexte de contage) étaient inclus. Les données démographiques, biologiques, scannographiques ainsi que les données sur la prise en charge, les complications et la mortalité ont été analysées. Résultats Les patients des 2 périodes (V1: 145 et V2: 120) étaient globalement comparables à l’admission en dehors de leur âge, plus élevé durant V2. La prise en charge a considérablement évolué entre les deux périodes: durant V2, une corticothérapie précoce était plus fréquemment administrée (88,3% vs. 18,8%;p<0,001), les patients étaient moins intubés (50% versus. 71,7%;p<0,001), avaient davantage bénéficié d’oxygénothérapie à haut débit (OHD) (71,4% vs. 36,1%;p<0,001), les durées d’hospitalisation en réanimation étaient plus courtes (18 [7–32] versus 11 [6–22] jours;p=0,036). Au total, 93 (35,1%) patients sont décédés: 46 (31,7%) issus de V1 et 47 (39,2%) issus de V2. En analyse multivariée, 3 critères étaient associés de façon indépendante à une augmentation de la mortalité globale: un score IGS2 élevé (1,03 [1,02–1,05];p<0,001), un âge élevé (1,04 [1,02–1,07];p=0,001) et le fait d’être admis durant V2 (2,00 [1,19–3,37];p=0,008). À l’inverse, un rapport PO2/FiO2 >200mmHg à l’admission (0,48 [0,26–0,89];p=0,019) était associé à un meilleur pronostic. Conclusion Il s’agit de la deuxième étude s’intéressant à la comparaison des patients admis en réanimation en France entre les deux premières vagues de la pandémie. Malgré l’évolution majeure des pratiques, on observe une augmentation de la mortalité en réanimation durant la 2e vague. Le recours plus fréquent à l’OHD n’est pas associé à l’augmentation de la mortalité globale et permet au contraire une diminution de la durée d’hospitalisation, et ainsi une meilleure disponibilité des places de réanimation.

6.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):130, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586660

ABSTRACT

Introduction Depuis 2019, l’épidémie de COVID-19 (infection à SARS-CoV-2) est responsable de 4 millions de décès dans le monde. Il n’existe, à ce jour, aucun traitement spécifique. La corticothérapie fait partie, depuis octobre 2020, du standard of care, suite à la publication de plusieurs études (dont la cohorte RECOVERY, NEJM 2020) montrant une amélioration significative de la survie lorsqu’elle est utilisée à la phase aiguë des pneumopathies hypoxémiantes. Cependant, peu de données sont disponibles concernant son impact sur l’atteinte résiduelle. Notre étude a donc cherché à savoir si le recours aux corticoïdes à la phase aiguë des infections à SARS-CoV-2 réduit la survenue de séquelles respiratoires à 3 mois, 6 mois et 1 an. Méthodes Il s’agit d’une étude observationnelle, rétrospective, réalisée au CHU d’Amiens entre mars et octobre 2020 concernant les patients ayant été hospitalisés dans une unité COVID. Ces patients étaient convoqués à 3 mois pour la réalisation d’un examen clinique, d’un scanner thoracique, d’explorations fonctionnelles respiratoires et d’un test de marche de 6 minutes. L’évaluation à 6 mois et 12 mois étaient optionnelles. Résultats Trois cent neuf patients ont été inclus. Parmi eux, 74 patients (23,9 %) avaient reçu une corticothérapie. À 3 mois, les patients ayant reçu une corticothérapie présentaient significativement plus de lésions en verre dépoli et une atteinte radiologique plus étendue ;ce qui n’était plus le cas à 6 mois et à 1 an. Il n’y avait pas de différence significative concernant les séquelles fonctionnelles à 3 mois comme sur le plus long terme. Conclusion Les patients ayant reçu une corticothérapie étaient peu nombreux et les plus graves, issus de la « première vague », ce qui peut expliquer les différences retrouvées lors de l’évaluation à 3 mois. Les séquelles respiratoires à 6 mois et 1 an semblent moins importantes dans le groupe ayant reçu une corticothérapie, mais le nombre de patients est insuffisant pour conclure. Cette étude n’a pas permis de mettre en évidence de différence significative à long terme entre les patients ayant reçu ou non une corticothérapie. Il semble nécessaire de poursuivre cette étude en appariant les patients sur la gravité initiale.

7.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):66-67, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586578

ABSTRACT

Introduction Dès le début de l’épidémie COVID-19, l’intérêt de l’échographie thoracique a été souligné, tant dans le diagnostic que comme facteur pronostique. Cependant, même si les lésions élémentaires sont connues, leur fréquence et leur répartition ont été moins décrites. Le but de cette étude est de décrire la sémiologie échographique des pneumonies COVID-19 hospitalisées. Méthodes Étude prospective multicentrique de mars à juin 2020. Inclusion des patients hospitalisés en pneumologie dans 15 centres du G-ECHO pour une pneumonie COVID-19 prouvée par scanner thoracique typique±PCR nasopharyngée. Une échographie thoracique était réalisée dans les 24h de la réalisation du scanner thoracique. Résultats 106 pts ont été inclus (âge médian 62 [30 à 90]). Le délai entre les premiers signes et l’hospitalisation était de 8jours (0 à 26). À l’arrivée, 67 % des pts étaient en air ambiant et 33 % sous oxygène. 10,4 % des pts avaient une atteinte scannographique <10 %, 32,1 % de 10 à 25 %, 35,8 %, de 25 à 50 %, 19,8 % de 50 à 75 % et 0,9 %>75%. 8 zones échographiques ont été analysées chez les 106 pts, soit 846 zones. Les signes retrouvés étaient des lignes B éparses (27%), un syndrome alvéolaire sous pleural (12 %), une irrégularité de la ligne pleuropulmonairere (12 %), des lignes B confluentes (10 %), un syndrome alvéolaire franc (>2cm de profondeur) (3 %). 34% des zones explorées étaient normales. Les lignes B éparses et confluentes et l’irrégularité de la lige pleuro pulmonaire étaient réparties sur toutes les zones. Les syndromes alvéolaires prédominaient nettement dans les zones postéro-inférieures. Une atteinte de la totalité des 8 zones explorées était retrouvée chez 23 % des pts, 52 % avaient une atteinte de 5 à 7 zones, 25 % avaient une atteinte de 4 zones ou moins. Aucun n’avait une écho normale. 11 pts avaient une pleurésie, toujours de moins de 1cm et jamais ponctionnée. 11 pts avaient une dysfonction diaphragmatique, 45 % d’entre eux ont eu une évolution défavorable versus 12 % en l’absence de dysfonction. L’extension des lésions à l’échographie était corrélée à l’extension des lésions scannographiques. Conclusion La pneumonie COVID donne avant tout un syndrome interstitiel hétérogène de répartition diffuse et parfois un syndrome alvéolaire prédominant aux bases. Les pleurésies sont rares. L’écho est très sensible (100 % dans cette population de patients hospitalisés). Le degré d’atteinte échographique est corrélée à l’extension des lésions scannographiques.

8.
Rev Mal Respir ; 38(6): 616-625, 2021 Jun.
Article in French | MEDLINE | ID: covidwho-1292251

ABSTRACT

INTRODUCTION: Since January 2020, when the first cases of SARS-CoV-2 infection were diagnosed in France, pulmonologists have been at the heart of the crisis and should be responsible for the management of acute COVID-19 (and any possible sequelae) BACKGROUND: Many drugs have been evaluated or are currently under evaluation as possible specific treatment for SARS-CoV-2. Nevertheless, as of April 15, 2021, the only recommended treatment in current practice is the "standard of care", i.e. the symptomatic management of infection with SARS-CoV-2. This review presents the state of knowledge on COVID-19 in the acute phase (virological, immunological, epidemiological and therapeutic data) available on 15th April, 2021. OUTLOOK: A large number of clinical trials are currently ongoing. It is important to propose to patients the opportunity to participate in clinical trials and to structure the research in order to complete the studies. CONCLUSION: Current management is based on oxygen therapy, thromboprophylaxis and in some cases corticosteroids. No antiviral therapy is currently recommended. These data are constantly evolving.


Subject(s)
COVID-19 , COVID-19/complications , COVID-19/diagnosis , COVID-19/therapy , COVID-19/virology , Humans
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